Compte tenu des contraintes sanitaires actuelles, le Qasi Festival ne pourra pas avoir lieu aux dates initialement prévues (du 5 au 19 février 2021).
Nous vous tiendrons informés dès que possible des dates et lieu de report.

ARNAUD REBOTINI
La carrière d’Arnaud Rebotini débute en 1995 avec quelques maxis techno sortis sur différents labels. En 2000, Arnaud Rebotini sort son premier album, Organique (Artefact, 2000), sous le pseudonyme Zend Avesta. Il fonde parallèlement le groupe Black Strobe, qui sort en 2007 un premier album, Burn Your Own Church réalisé par Paul Epworth (Adèle, Florence And The Machine, Block Party, The Rapture), suivi de Godforsaken Roads en 2014.
Arnaud Rebotini ajoute aux différents aspects de sa carrière et de ses productions, une collaboration avec France Info puisqu’il est le compositeur de l’habillage sonore de la radio de 2009 à 2014. Les débuts d’Arnaud Rebotini et notamment avec le style des productions de Zend Avesta, ouvre aussi sa carrière au cinéma. Après un titre pour Novo, de Jean-Pierre Limosin, c’est avec le réalisateur Robin Campillo que la collaboration d’Arnaud Rebotini avec le cinéma est scellée puisqu’il signe les deux BO de ces deux derniers longs métrages, Eastern Boys et 120 Battements par minute.
Costard impeccable, moustache qui tombe parfaitement, cheveux délicatement gominés, carrure de 3e ligne … Arnaud Rebotini en met plein la gueule dès son apparition sur scène. La scène justement, il la prend littéralement, s’en empare et ne vous lâche plus. Entouré de tous ces claviers et machines analogiques, il construit, dans des sets qui rendent fous, une techno vintage pure et dure à l’évolution lente et hypnotique. La moitié de Blackstrobe peut déjà prétendre au statut de légende de la musique électronique.

JESSICA93
Trublion d’une scène underground prolifique, Jessica93 affiche à son compteur pas moins de quatre albums et un nombre incalculable de concerts aussi bien dans de petites salles que sur les scènes de grands festivals. Derrière ce pseudo, se cache le projet de Geoffroy Laporte : un mélange hypnotique et insolent de post-punk, de noise, de grunge, terriblement addictif.

Photo © Quentin Caffier